Les mentions légales des contrats civils et commerciaux

La nécessité d’un dressage de contrat se réalise dans le cadre des ententes d’envergure entre professionnels ou entre commerçants et particuliers. Alors, les individus ciblés par ce contrat doivent connaître en détail les termes annoncés afin de ne pas se trouver face à un contentieux à l’avenir. Un contrat doit, entre outre, contenir les clauses générales concernant un service, un achat, ou encore une vente dans le domaine de pratique du commerçant. Ces contrats peuvent avoir une nature B2C ou B2B.

Contrat mixte

Cette appellation fait suite à un contrat édifié entre un commerçant et un particulier. Suite à cet acte, le commerçant se soumet à des devoirs commerciaux. Tandis que les obligations civiles sont celles à la charge de son client. Cependant, ces obligations ne figurent pas dans les articles protégeant les usagers. La limite entre un contrat commercial et non commercial demeure très floue. Raison pour laquelle, la jurisprudence fait mention de cette notion. Entre un jugement précis et une opinion large, la jurisprudence reste vague sur le sujet. Alors, après un long temps de réflexion, la cour de cassation définit qu’un contrat de commerce concerne seulement les actes signés dont la raison a un rapport étroit et direct avec les activités professionnelles d’un commerçant. En théorie, cette proclamation reste très claire. Mais dans la pratique, la situation se complique. Effectivement, dans l’action, le droit des affaires à Cannes ou dans d’autres régions de France au sujet des contrats commerciaux se confond par l’apparition de la protection du droit de la consommation, la mise en place de nouvelles formes de contrat commercial, et par la présence des actes mixtes. Pour une personne ayant des connaissances limitées en matière de droit, il est facile de s’y perdre. Pour prévenir cela, et afin de ne pas courir de risques, il vaut mieux confier les tâches concernant le fondement d’un contrat à un avocat spécialisé en la matière.

Contrat commercial

Il s’agit ici d’une entente ayant une raison commerciale ou d’une action entreprise par un commerçant dans le but d’améliorer ses activités. Il existe des règles à respecter dans la rédaction d’un contrat de commerce. Le droit des affaires en France stipule les règles commerciales et les théories générales à suivre lors de ces rédactions afin que le contrat soit dans la norme. Afin d’éviter des ennuis dans l’avenir, le chef d’entreprise sollicite l’intervention d’un professionnel des droits pour la mise en place des actes commerciales. Cela prévoit les risques de rupture abusive de contrat ou de non-exécution du contrat. La classification d’un contrat dit commercial se réalise facilement par les caractéristiques mentionnées dans la jurisprudence. Cependant, elle annonce une conjoncture. En théorie, toutes les actions entreprises ou contrats signés par un commerçant restent tous qualifiés tel un acte de commerce. Alors, quand un litige concernant un contrat existe, et que celui-ci n’a aucun rapport avec les activités de commerce, mais à titre personnel, le commerçant doit alors prouver l’indépendance du contrat en raison de cette présomption. Pour cela, le commerçant procure des témoignages sur les raisons et la nature du contrat. S’il réussit à prouver la nature non commerciale d’un contrat qu’il a rédigé à titre personnel, alors, il peut profiter des avantages et des protections de la part du droit de la consommation en étant lui-même un consommateur.

Autres types de contrat

Dans le monde du commerce, la rédaction des contrats professionnels fait partie du quotidien. Le commerçant ou l’entreprise doit  dans la mise en place de ces actes. Effectivement, les deux protagonistes seront engagés et retenus par les termes de ce contrat en question. Souvent, les commerçants laissent aux professionnels du droit des affaires à Cannes le soin d’effectuer à leur place la préparation de ces actes. Il existe les variantes comme les contrats de distribution (local ou dans un autre pays), les contrats de licence de marque, ainsi que les contrats de franchise et d’approvisionnement. Selon le secteur d’activité de l’entreprise, il peut avoir besoin de la conception d’un acte de fabrication, en local, ou à l’étranger. Les entreprises d’envergure nécessitant la réalisation d’une externalisation, encore appelé outsourcing doivent faire attention sur les termes des contrats qu’ils signent avec leur collaborateur. Souvent, ces sociétés confient des taches importantes à des prestataires externes. Ces activités concernent fréquemment la tenue de la comptabilité, la maintenance d’usine, etc. Il y a également les divers contrats de sous-traitance, d’affiliation à des entreprises tierces, et les actes de partenariat. Pour être stable, une entreprise ne doit pas négliger les termes des contrats de baux de location, dans le cas où elle loue son siège. Effectivement, lorsqu’un acte de bail est sur le point d’arriver à son terme, le propriétaire réévalue le montant des loyers, ou optent pour une rupture de contrat. Et cela peut avoir des impacts néfastes sur l’activité de l’entreprise.

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